Maxime et moi avons prit le temps d’apprécier et de visiter les stands. Le vent se levait doucement. Le ballon montait de plus en plus haut dans le ciel. Il disparut sous les rayons d’un soleil d’été. On s’assit sur les escaliers du Quai. Maxime regardait tristement le ciel.
Je le pris dans mes bras en le rassurant.
- Ce n’est pas grave. Tu sais pourquoi ?
Il était blotti contre moi et marmonait de façon inintelligible. Je lui montrai le soleil.
- Lui, il te suivra où que tu ailles.
Un sourire se dessina sur son visage et me demanda.
- On refait un tour ?
Le soleil baignait le Pays Noir de ses rayons, au contraire, d’un blanc éclatant.